Ici...réparer les femmes excisées
Selon l'OMS, entre 130 et 140 millions de femmes sont excisées dans le monde.
Aujourd’hui c'est la journée de lutte contre les mutilations génitales, alors le temps d'un article, nous allons nous intéresser à l'après, à la reconstruction très compliquée de femmes dont on a volé une partie de leur corps.
Pour parfaire à cette reconstruction, aux portes de Paris, une opération chirurgicale a été mise en place. Celle-ci au delà de redonner aux femmes un clitoris, leur redonne une identité. Ce progrès a montré qu'une chirurgie reconstructrice aide à diminuer les douleurs et à favoriser l’émancipation sexuelle.
Ces opérations sont menées par le chirurgien Pierre Foldès qui lutte depuis longtemps contre les mutilations génitales féminines, avec à ce jour des interventions chirurgicales réalisées auprès de 3 000 femmes.
Un léger recul de ces pratiques a été remarquée, fruit des nombreuses campagnes internationales qui ont fait reculer ces mutilations, pour la plupart réalisées sur des très jeunes filles. En effet on a vu passer sur les réseaux sociaux, #AlerteExcision qui fait froid dans le dos. Encore un grand nombre de filles sont envoyées dans leurs pays d'origine ou celui des parents, on leur parlent de vacances, elles reviennent excisées... On voit alors pas mal de vidéos chocs du gouvernement qui ont pour but de faire réagir la population. Ces femmes subissent des conséquences physiques d'abord, mais aussi psychologiques (comme des douleurs lors des accouchements ou encore lors des rapports sexuels)
Dans le cas, où il s'agit d'une mutilation génital, l’opération dure moins d'une heure. La définition exact de l'Organisation Mondial de la Santé, définit les mutilations génitales féminines comme une "ablation partielle ou totale du clitoris et des petites lèvres, avec ou sans excision des grandes lèvres". L'opération reconstructrice consiste alors a reproduire cette petite partie du corps enlevée, de manièreartificielle. Par ailleurs, situation inédite, les opérations se réalisant a l'hôpital de Poissy à Saint-Germain-en-Laye sont remboursé en France depuis 2004.
Les patientes du docteur Foldès, sont en moyenne âgées de 29 ans et ont été mutilées vers 5-9 ans dans les pays comme le Mali, le Sénégal ou encore la Côte d'ivoire. Le médecin confit par ailleurs :"au départ, j'ai opéré pour soulager les douleurs, puis je me suis rendu compte que beaucoup de choses se cachent derrière des douleurs". Les effets cliniques ont obtenu des résultats probants, et ainsi le chirurgien s'implique ainsi à former des médecins en Afrique et en Europe.
En France, on compte entre 55 000 et 60 000 femmes excisées, et 4 000 reconstruites, au delà d'une reconstruction physiques, on parle de reconstruction identitaire en tant que femme. On lutte alors contre un fléau mondial.
Aujourd’hui c'est la journée de lutte contre les mutilations génitales, alors le temps d'un article, nous allons nous intéresser à l'après, à la reconstruction très compliquée de femmes dont on a volé une partie de leur corps.
Pour parfaire à cette reconstruction, aux portes de Paris, une opération chirurgicale a été mise en place. Celle-ci au delà de redonner aux femmes un clitoris, leur redonne une identité. Ce progrès a montré qu'une chirurgie reconstructrice aide à diminuer les douleurs et à favoriser l’émancipation sexuelle.
Ces opérations sont menées par le chirurgien Pierre Foldès qui lutte depuis longtemps contre les mutilations génitales féminines, avec à ce jour des interventions chirurgicales réalisées auprès de 3 000 femmes.
Un léger recul de ces pratiques a été remarquée, fruit des nombreuses campagnes internationales qui ont fait reculer ces mutilations, pour la plupart réalisées sur des très jeunes filles. En effet on a vu passer sur les réseaux sociaux, #AlerteExcision qui fait froid dans le dos. Encore un grand nombre de filles sont envoyées dans leurs pays d'origine ou celui des parents, on leur parlent de vacances, elles reviennent excisées... On voit alors pas mal de vidéos chocs du gouvernement qui ont pour but de faire réagir la population. Ces femmes subissent des conséquences physiques d'abord, mais aussi psychologiques (comme des douleurs lors des accouchements ou encore lors des rapports sexuels)
Dans le cas, où il s'agit d'une mutilation génital, l’opération dure moins d'une heure. La définition exact de l'Organisation Mondial de la Santé, définit les mutilations génitales féminines comme une "ablation partielle ou totale du clitoris et des petites lèvres, avec ou sans excision des grandes lèvres". L'opération reconstructrice consiste alors a reproduire cette petite partie du corps enlevée, de manièreartificielle. Par ailleurs, situation inédite, les opérations se réalisant a l'hôpital de Poissy à Saint-Germain-en-Laye sont remboursé en France depuis 2004.
Les patientes du docteur Foldès, sont en moyenne âgées de 29 ans et ont été mutilées vers 5-9 ans dans les pays comme le Mali, le Sénégal ou encore la Côte d'ivoire. Le médecin confit par ailleurs :"au départ, j'ai opéré pour soulager les douleurs, puis je me suis rendu compte que beaucoup de choses se cachent derrière des douleurs". Les effets cliniques ont obtenu des résultats probants, et ainsi le chirurgien s'implique ainsi à former des médecins en Afrique et en Europe.
En France, on compte entre 55 000 et 60 000 femmes excisées, et 4 000 reconstruites, au delà d'une reconstruction physiques, on parle de reconstruction identitaire en tant que femme. On lutte alors contre un fléau mondial.
En espérant que cet article vous aura appris des choses,
Bonne journée,
♀=♂
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Documents complémentaires pour en savoir plus:
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- article le Monde
- article l'Afrique renouveau
- article RTL
- article mademoizelle
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